dimanche 22 novembre 2009

«5 à 7 des carrières»

Le 17 novembre 2009, j’ai assisté à la soirée «5 à 7 des carrières». Tous les étudiants du 4e et 5e secondaire ont choisi trois professions à qui ils ont assisté de 5 à 7 heures. Tout cela dans le but de laisser les étudiants expérimentés les domaines du marché du travail et leur permettre de commencer à penser aux choix pour l’avenir.

Les ateliers que j’ai choisis étaient les suivants : technique de bioécologie, médecin et vétérinaire.

L’atelier de vétérinaire m’a intéressé le plus car, premièrement, c’est le métier que j’aimerais exercer plus tard et cela est depuis l’âge de 10 ans. Deuxièmement, car dans ma vie de tous les jours, je suis toujours dans la présence des animaux et j’ai eu beaucoup d’expériences avec les accouchements et les maladies des animaux. Alors, cela m’a intéressé encore plus et, troisièmement, la plupart des aptitudes et le ‘’niveau d’intelligence’’ requis pour exercer ce métier me qualifient énormément.

Alors, c’est définitivement une option envisageable pour moi et même je l’espère. Je ferai tout pour me rendre au point où je pourrai m’appeler un médecin vétérinaire. Car le temps que ça prends pour arriver à ce point là (années d’études) me dérange absolument pas à cause de ma détermination.

Mais la soirée globalement, je l’ai bien appréciée car j’ai pu découvrir d’autres métiers que j’ignorais. Aussi, j’ai pu demander beaucoup de questions sur les métiers que j’ai découverts pour en connaître davantage.

dimanche 25 octobre 2009

Critique du roman «Les chroniques de Spiderwick»


Le roman que j'ai lu comportait les 4 histoires du série. Les histoires sont très courtes, mais elles sont bien écrites. J'aime beaucoup le fantastique et ce série m'a plu énormément. J'ai adoré la fin, car on y attends pas, mais on a des doutes. La seule chose que je n'aime pas de ce série, c'est que les enfants se chicanent tout le temps sans arrêt, jusqu'à la fin bien sûre, et les histoires osnt trop courtes. À cause que j'étais trop accrochée à l'histoire, je lisais trop vite et, dans deux semaines, j'avais fini tous les histoires. Apart de ces faits, les histoires sont bien écrites et sont très originales. Il y a des choses étranges qui se produit, mais cela m'attire beaucoup.

La fin renouvelée de la nouvelle «Mollusques, vers, échinodermes, coelentérés et infusoires»


[...]Mes mains étaient glaçées, je m'en souviens bien, j'avais posé mon vélo contre la porte du garage, et c'est à ce moment-là que ma mère était sortie...


Elle avait les yeux grands ouverts. Elle me figeait avec ceux-ci et a couru vers moi. Elle m'a pris dans ses bras en serrant le plus fort qu'elle pouvait. Elle me dit: «Ne me fait jamais, jamais peur comme sa! J'ai lu ta lettre lorsque j'ai rentré à la maison.». J'y ai dit de se calmer car je suis revenu. Elle m'embrassa et elle rentra dans la maison à faire la vaisselle. Je suis allé voir si je pourrais retrouver mes escargots, mais j'en ai po revu. En plus de ne pas avoir des aventures sur un bateau, j'ai perdu tous mes escargots.

Citations de la nouvelle «Les Claude»


1- «Vingt-trois ans après s'être croisés dans un autobus, Claude et Claude s'aimaient encore

(lignes 1 et 2)



Je pense que les histoires de «l'amour pour la vie» est parfois ennuyant,surtout si c'est un jeune couple qui le dit, mais cette fois-ci je pense que c'est adorable parce que vingt-trois ans ,c'est très long et, selon moi, c'est un amour qui ne peut pas être trouvé n'importe où. Alors, cette citation me fait rappelé de mes grand-parents et de tous les vieux couples qui sont encore en amour.




2Il y eut, de part et d'autre, des amours et des voyages, des amitiés et des aventures, des méprises et des doutes, mais jamais la certitude - tantôt forte, tantôt floue- de faire partie de la vie de l'autre ne fut entaillée.» (lignes 72 à 75)


Je considère le fait que deux personnes ne peuvent pas être ensemble tellement triste et frustrant. Si deux personnes s'aiment, allez-y! Aimez-vous, embrassez-vous. Ce n'est pas si difficile. Lorsque ça concern l'amour et les effets de notre coeur, il n'y a pas de choses qui devraient venir entre ces deux aspects.




3- «Loin des yeux et loin du corps, chacun vaquait à ses occupations, gardant au fond du coeur, en veilleuse, le souvenir tangible, mais diffus, de l'existence de l'autre.»(lignes 97 à 100)


La solidarité est pénible. Personne ne doit sentir comme cela. Tout le monde a besoin de quelqu'un, si c'est à 15 ans ou à 95 ans, tout le monde a besoin de quelqu'un à leur côté.






samedi 24 octobre 2009

Résumé de ma nouvelle préféré, «Pauvre petit garçon!»



Un petit garçon appelé Dolfi, 5 ans, est rejeté par ses camarades de la ville. Il est trop différent alors il se fait niaisé et traité de noms par tous les autres enfants. Les enfants jouent à des jeux de guerres et ne laissent jamais la chance a Dolfi de jouer. Mais, une journée, Dolfi vient avec un nouveau fusil et les autres enfants le voient. Ils acceptent de le laisser jouer avec eux. Dolfi est hésitant mais il accept. Il court pour rejoindre les autres enfants qui jouent. Lorsqu'il tourne un coin, tous les autres sont là et lui pointe du doight en riant. Ils commencent tous à lui appeler «Laitue». Ils lui lancent des roches et le piétinent. Sa mère vient lui rejoindre en le levant du sol. Dolfi, saignant, la suit. En partant, l'amie de la mère de Dolfi se retourne et dit: «Allons, au revoir Madame Hitler

jeudi 22 octobre 2009

Mon recueil de nouveaux mots

Provenance des mots inconnus: «Ça n’avais aucun sens»

1.«L'interne avait été catégorique: il n'était absolument pas question qu'elle rentre à Québec.»(lignes 59 et 60)

Catégorique: Qui exprime une opinion d'une manière nette et sans réplique.

Ex: Mon idée de vendre nos vieux vêtements est catégorique.

2.«Puis ç'avait été la kyrielle de questions posées une première fois par l'infirmière,...»(lignes 65 et 66)

Kyrielle: Longue suite ininterrompue.

Ex: Il y a eu une kyrielle d'idées dans la salle d'assemblée.

3.«...: un non signiferait-il qu'on lui refuserait une péridurale le moment venu?» (lignes 87 et 88)

Péridurale: Anesthésie régionale du bassin par une injection dans l'espace péridural, en passant entre deux vertèbres, pratiquée surtout au cours de l'accouchement.

Ex: Mon ami fait des péridurales à ses patients.

4.«Se risquait-on à lui faire remarquer que son rythme éffréné ne convenait pas à une personne dans son état,...» (lignes 31 et 32)

Effréné: Qui est sans frein, sans retenue; déchaîné, immodéré, démesuré.

Ex: Son attitude effréné ne nous a pas plu.

5.«Le parfum des lilas en fleurs s'immiscait par la fenêtre entrouverte de la chambre...» (lignes 93 et 94)

Immiscer: Intervenir indûment et indiscrètement dans ce qui est de la compétence d'autrui.

Ex: Mon frère s'immiscait trop dans les affaires qui ne lui conçernait pas.

6.«..., à la suite de la déchirure qui s'était produite malgré l'épisiotomie qu'il avait dû pratiquer pour faciliter la sortie du bébé.» (lignes 130 à 132)

Épisiotomie: Incision de la vulve et des muscles du périnée, pratiquée pour empêcher une déchirure spontanée, lors de certains accouchements.

Ex: Cette femme a dû avoir plusieurs épisiotomies.

Description d'un lieu dans la nouvelle «Alexandrie, Alexandrie»

Le lieu: Alexandrie, Alexandrie
Un endroit dans l'Hindús-Kúsh où des centaines de villes, camouflées durant le jour, s'émergent lentement du sable la nuit. Ils sont habillées d'échangeurs routiers, cernant les voyageurs de leurs innombrables lumières au mercure, rotatives, filiformes, halogènes, tubulaires et hypnotiques. Par-dessus la multitude des lumières se dressent de hauts panneaux publicitaires au néon rouge et clignotant, pièges automatiques à papillons de nuit, où grésille sans cesse le même mot: Alexandrie, Alexandrie, Alexandrie...
Je ne put savoir quelle route prendre pour arriver à ces centaines de villes. Je n'avais que deux heures avant qu'ils s'émmergent dans le sable. Après cela, il faudra que je me dirige au nord dans le désert sans l'aide des rues. Alors, je n'ai pas le choix de me grouiller pour y arriver. Mon dieu! Je ne veux que la chance de voir cette place spectaculaire aux lumières multicolores.

mardi 20 octobre 2009

Description du personnage dans la nouvelle «Ça»


Ce personnage n'a pas de nom car il est considéré comme une personne démunie. Il vit sur la rue et se couche sur le trottoir. Il pue et porte un grand sac vert qui déborde de choses. Il n'aime pas les personnes qui s'approche de lui, alors il est très solitaire. Il garde toujours ses biens proche de lui car il a travaillé pour ceux-ci et ce sont les seules choses qui lui appartient.

Ce personnage a eu une enfance très agréable. Il adorait les Canadiens de Montréal. Il portait des chandails des Canadiens de Montréal et jouait souvent au hockey dans la rue avec ses amis. Il rêvait de devenir hockeyeur professionnel, il y espérait tellement qu'il a investi tout son argent dans le hockey. Malheureusement, il n'aurait pas dû car , à 25 ans, il perdit tout son argent et il vivait sur la rue en survivant sur les restants des autres.

La notice biographique d'Esther Croft


Esther Croft est née à Québec le 23 avril 1945. Depuis plus de vingt ans, elle offre des ateliers d’écriture auprès de clientèles variées. Elle a également mis sur pied un centre privé de créativité littéraire ouvert à toute personne désireuse d’explorer les multiples facettes du langage écrit et surtout de découvrir et de libérer la singularité de sa propre voix. Elle a collaboré a diverses revues et elle a participé à quelques ouvrages collectifs, notamment Coup de foudre en 1993, La nuit en 1995, Des écrivains dans la ville en 1995. Elle est l’auteure de plusieurs textes radiophoniques et de trois recueils de nouvelles. En 1993-94, elle a été finaliste au Prix du Gouverneur général et gagnante du Prix Adrienne Choquette pour son recueil Au commencement était le froid. Elle a écrit la nouvelle Le reste du temps en 2007 et cela comporte la nouvelle Le père de son fils que j’ai lue. Écrire et faire écrire, c’est la double voie qu’Esther Croft a choisie pour tenter de mettre un peu plus de parole entre les êtres.

Sources:



- Forum, recueil de nouvelles, p.166

lundi 19 octobre 2009

Critique du film «Les producteurs»

Ce film est très bien fait. Les personnages principales mettent tellement d'emphase sur leurs réactions et leur personne qu'on a l'impression qu'on est dans la pièce. L'histoire est originale et très drôle.L'histoire a beaucoup de différentes sortes de personnages et c'est à cause de cela que le film est hilarant et tous les personnages on des caractéristiques psychologiques différentes. Il y a beaucoup de personnes connues présentées dans le film, alors c'est plus facile de comprendre leur façon de s'y prendre. Les paroles des chansons que les personnages chantent dans le film sont très joyeux la plupart du temps, alors c'est un film très accrocheur.